L'Astronomie

 Ce sont là, les bases de l'astronomie, à savoir :

 

Repérage des constellations

La sphère céleste est divisée en 88 constellations dont les trois-quarts sont plutôt difficiles à reconnaître. Le repérage des constellations doit donc se faire à partir de celles qui sont les plus faciles à identifier et grâce aux étoiles les plus visibles.

 

Dans l'hémisphère nord, (39 constellations) l'observateur doit apprendre à identifier trois constellations au premier coup d'œil : la Grande Ourse, Cassiopée et Orion. Dans l'hémisphère sud (46 constellations), il doit apprendre à reconnaître la Croix du Sud et à la différencier de la Fausse croix.

 

Trois constellations sont invisibles dans les deux hémisphères.

 

L'identification des constellations est facilitée par des cartes du ciel étoilé, qui varient suivant le jour et l'heure d'observation.

 

Reconnaître les planètes dans le ciel nocturne

Quand on lève les yeux vers le ciel nocturne, certaines étoiles que l’on voit ne sont pas des étoiles. Ce sont des planètes.

 

Parmi les huit planètes de notre système solaire, cinq sont visibles à l’œil nu, en excluant la Terre évidemment : Mercure, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne.

 

Les planètes apparaissent comme des étoiles lointaines, pourtant si on sait ce qu’on cherche, on peut facilement les repérer. De plus, vu que ces planètes gravitent autour du Soleil, leur position bouge dans le ciel, au fil des jours, des mois ou des années.

 

Leur traque et leur suivi est d’ailleurs effectuée depuis des millénaires par les astronomes, notamment par ceux de la Rome et de la Grèce antique, qui voyaient en elles des divinités :

  • Mercure (chez les Romains, ou Hermès chez les Grecs), la planète la plus proche du Soleil et se déplaçant la plus vite était le messager des dieux, parcourant le ciel entre les étoiles ;
  • Vénus (chez les Romains, ou Aphrodite chez les grecs), la planète la plus brillante et la plus jolie, symbole de la fertilité et la féminité ;
  • Mars (chez les Romains, ou Arès chez les Grecs), rouge de façon visible, était associée à la guerre (et ses deux lunes, découvertes bien plus tard, furent nommées Phobos, d’après la divinité de la peur, et Déimos, incarnant la terreur) ;
  • Jupiter (chez les Romains, ou Zeus chez les Grecs) lente mais très brillante, était le père et le roi de tous les dieux.
  • Saturne (chez les Romains, ou Chronos chez les Grecs), la planète visible la plus éloignée de nous et donc aussi la plus lente à traverser le ciel était considérée comme la divinité du temps ;
  • Neptune, Uranus, Pluton existaient chez les anciens, mais ces planètes (ou planètes-naines pour Pluton) n’étaient pas visibles et donc inconnues dans leur ciel ;

Je peux vous donner quelques astuces pour tenter de repérer les planètes à l’œil nu. Pour certaines planètes, ce n’est vraiment pas compliqué.

 

Situer les galaxies

Une galaxie est un assemblage d'étoiles, de gaz, de poussières, de vide et peut-être essentiellement de matière noire, contenant parfois un trou noir supermassif en son centre.

 

La Voie lactée, la galaxie dans laquelle se trouve le Système solaire, compte quelques centaines de milliards d'étoiles (1011) et a une extension de l'ordre de 80 000 années-lumière. Un rapport de la mission spatiale européenne Gaia a rendu publique, le 25 avril 2018, la position de 1 692 919 135 étoiles de notre galaxie, ce qui représente moins d'1 % de la totalité des étoiles présentes dans notre galaxie. La plupart des galaxies typiques comportent un nombre similaire d'astres, mais il existe aussi des galaxies naines comptant à peu près une dizaine de milliards d'étoiles (1010), et des galaxies géantes comptant plusieurs milliers de milliards d'étoiles (1012). Sur la base de ces chiffres et de la taille de l'univers observable, on estime que celui-ci compte quelques centaines de milliards de galaxies de masse significative. La population de galaxies naines est cependant très difficile à déterminer, du fait de leur masse et de leur luminosité très faibles. Il pourrait donc contenir jusqu'à 2 000 milliards de galaxies, mais cela ne pourra être confirmé qu'avec les observations des futurs télescopes (tel le Télescope géant européen ou le Télescope de Trente Mètres).

 

Les galaxies en tant que systèmes stellaires de grande taille ont été mises en évidence dans le courant des années 1920, principalement par l'astronome américain Edwin Hubble, bien que des premières données indiquant ce fait remontent à 1914. Les galaxies sont de trois types morphologiques principaux : elliptiques, spirales, irrégulières. Une description plus étendue des types de galaxies a été donnée à la même époque par Hubble et est depuis nommée séquence de Hubble.

 

Comprendre les cycles

Un cycle n’est pas une boucle fermée mais une suite structurée chronologiquement de phases de développement du processus vital. A la fin du cycle, si il semble revenir exactement en sa position original, il fait en réalité plus que cela il va au delà pour produire l’évolution, le sens créateur, du moins si le processus en spirale a été optimal.

 

Si ce n’est pas le cas, le cycle prendra effectivement un aspect d’événements répétitifs, du moins le temps que l’apprentissage et la leçon du cycle soient retenus.

 

Ce sont bien les cycles dans leur globalité qui ont une signification, non un simple point indiquant la simple position figée d’une planète particulière à l’instant T, faisant un aspect particulier isolé à une autre planète figée, etc…

 

Etablir des orbites

En mécanique céleste et en mécanique spatiale, une orbite (/ɔʁ.bit/) est la courbe fermée représentant la trajectoire que dessine, dans l'espace, un objet céleste sous l'effet de la gravitation et de forces d'inertie. Une telle orbite est dite périodique. Dans le Système solaire, la Terre, les autres planètes, les astéroïdes et les comètes sont en orbite autour du Soleil. De même, des planètes possèdent des satellites naturels en orbite autour d'elles. Des objets artificiels, comme les satellites et les sondes spatiales sont en orbite autour de la Terre ou d'autres corps du système solaire.

 

Une orbite a la forme d'une ellipse dont l'un des foyers coïncide avec le centre de gravité de l'objet central. D'un point de vue relativiste, une orbite est une géodésique dans l'espace-temps courbe.